Communiqué de presse de l’Université McGill, Montréal – Des chercheurs de l’Université McGill, dirigés par les Dres Alanna Watt et Anne Mckinney, ont fait un grand pas en avant dans la compréhension de la cause de l’ARSACS. « Nous avons montré très clairement que les cellules zébrin-négatives dans le vermis postérieur ne dégénéraient pas », explique Watt.« Nous ne nous attendions pas à cela. Nous pensions que les cellules zébrin-négatives dans toutes les parties du vermis finiraient par succomber, mais ce n’est tout simplement pas ce que nous voyons”. Bonne nouvelle pour les familles touchées par l’ARSACS. Recherche publiée dans Frontiers in Cellular Neuroscience.
Une découverte surprenante par l’équipe de chercheurs à McGill : toutes les cellules zébrin-négatives ne se comportent pas de la même manière
by ARSACS | Déc 22, 2021 | Dernières Nouvelles